Les élèves du mois
de décembre
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Sylvia Baertsch
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Irène Deslarzes
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Claire Droulez
13 ans
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Michelle Dupertuis
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Iris Gerbex
15 ans
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Daniel Kaltenrieder
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Marie-Flore Koblet
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Eric Perret
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Et
bien oui, nous sommes tous en deuil, en particulier
la classe du jeudi soir.
En effet, deux maillons importants
quittent la chaîne.
Ils méritent cependant un grand
hommage.
Leur complicité va terriblement nous
manquer ... nous avons tant de souvenirs à
partager. |
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Dominique Polikar
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Pierre de Siebenthal |
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Je suis sûre que
chaque jeudi soir, nous évoquerons un
souvenir, une pensée pour tous deux.
Sachez que vous resterez dans mon cœur
tant que vivra l'Alpage... donc dans le
mien.
Merci à tous 2 de votre chaleureuse
amitié, maintes fois démontrée.
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En attendant de vous retrouver en 2014, je vous souhaite
de bonnes fêtes et un tas de bonnes choses
Et pour ceux qui l'auraient oubliée, voici la vraie
histoire du père Noël :
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Il y a approximativement deux milliards d’enfants (moins de 18 ans)
sur Terre. Cependant, comme le Père Noël ne visite pas les
enfants Musulmans, Hindous, Juifs ou Bouddhistes (sauf peut-être
au Japon), ceci réduit la charge de travail pour la nuit de
Noël de 15 % au total, soit 378 millions. En comptant une
moyenne de 3,5 enfants par foyer, cela revient à 108
millions de maisons, en présumant que chacun comprend au
moins un enfant sage. Le Père Noël dispose d’environ 31
heures de labeur dans la nuit de Noël, grâce aux différents
fuseaux horaires et la rotation de la terre, dans l’hypothèse
qu’il voyage d’Est en Ouest, ce qui paraît d’ailleurs
logique. Ceci revient 967.7 visites par seconde.
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Cela signifie que pour chaque foyer chrétien contenant au moins un
enfant sage, le Père Noël dispose d’environ 1 millième
de seconde pour parquer le traîneau, sauter hors dudit traîneau,
dégringoler dans la cheminée, remplir les chaussettes,
distribuer le reste des présents au pied du sapin, déguster
les quelques friandises laissées à son intention,
regrimper dans la cheminée, enfourcher le traîneau et
passer à la maison suivante.
En supposant que chacun de ces 108 millions d’arrêts sont distribués
uniformément à la surface de la Terre (hypothèse que nous
savons fausse, bien sûr, mais que nous accepterons en 1ère
approximation), nous devons compter sur environ 1.4 km par
trajet. Ceci signifie un voyage total de plus de 150 mio de
km, sans compter les détours pour ravitailler ou faire
pipi.
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Le traîneau du Père Noël se déplace donc à 1'170 km/seconde (3'000
x la vitesse du son). A titre de comparaison, le véhicule
le plus rapide fabriqué par l’homme, la sonde spatiale
Ulysse, se traîne à 49 km/seconde et un renne moyen peut
courir au mieux de sa forme à 27km/h.
La charge utile du traîneau constitue également un élément intéressant.
En supposant que chaque enfant ne reçoit rien de plus
qu’une boîte de lego moyenne (1kg), le traîneau supporte
plus de 500 mille tonnes, sans compter le poids du Père Noël
lui-même. Sur Terre, un renne conventionnel ne peut tirer
plus de 150 kg. Même en supposant que le fameux « renne
volant » serait 10 fois plus performant, le boulot du
Père Noël ne pourrait jamais s’accomplir avec 8 ou
9 bestiaux; il lui en faudrait 360'000 ! Ce qui
alourdit la charge utile, abstraction faite du poids du traîneau,
de 54'000 tonnes supplémentaires, nous conduisant à
bonnement 7 fois le poids du Prince Albert (le bateau, hein,
pas le Monarque). 600'000 tonnes voyageant à 1'170
km/seconde créent une énorme résistance à l’air.
Celle-ci ferait chauffer les rennes, au même titre qu’un
engin spatial rentrant dans l’atmosphère terrestre. Les 2
rennes en tête de convoi absorberaient chacun une énergie
calorifique de 14'300 millions de joules par seconde.
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En bref, ils flamberaient quasi instantanément, exposant dangereusement
les 2 rennes suivants. La meute entière de rennes serait
complètement vaporisée en 4.26 millièmes de seconde, soit
juste le temps pour le Père Noël d’atteindre la 5ème
maison de sa tournée. Pas de quoi s’en faire de toutes façons,
puisque le Père Noël, en passant de manière fulgurante de
0 à 1'170 km en 1 millième de seconde, serait sujet à des
accélérations allant jusqu’à 17'500 G’s. Un Père Noël
de 125 kg (ce qui semble ridiculement mince), se
retrouverait plaqué au fond du traîneau par une force de
2’157'507.5 kg, écrabouillant instantanément ses os et
ses organes et le réduisant à un petit tas de chaire rose
et tremblotante.
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C’est pourquoi, si le Père Noël a existé, il est mort
maintenant.... mais pour nous,
il restera un héros dans notre imaginaire pour demeurer
vivant. |
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